1er Mai 2024 ; Paix – Justice – Socialisme

1er Mai 2024 ; Paix – Justice – Socialisme

Jamais notre pays n’aura été aussi riche et jamais le peuple et les travailleurs n’auront été autant exploités et spoliés, méprisés et maltraités par la petite poignée de personnes qui détient le pouvoir politique et économique. Partout, les poches et les portefeuilles sont vides. L’argent “magique” existe mais il sert à payer le train de vie de l’oligarchie et des actionnaires du CAC 40 et financer les guerres !

En ce 1er Mai : nous appelons à l’Unité et à la Radicalité face au régime de Macron, au service exclusif des riches et du patronat, qui étrangle nos vies, droits et libertés ! Unité et radicalité contre le capitalisme, en crise incurable, et qui prend les peuples du monde entier en otage et les met en danger de mort ! Contre les spéculateurs et les fauteurs de guerre, nous rejetons tout fatalisme et sentiments de résignation !

Par nos luttes dans chaque industrie, dans chaque usine et sur chaque lieu de travail, nous pouvons gagner des augmentations de salaires, mais aussi forcer le gouvernement, les patrons et leurs serviteurs à reculer sur leurs projets, notamment la destruction de l’Assurance-Chômage, la casse du Code du Travail, le massacre de la Fonction publique !

Mieux, nous pouvons aussi les forcer à “rendre l’argent”, notamment les centaines de milliards d’euros donnés au secteur privé démontrent que ce dernier est un parasite qui ne peut subsister sans aides publiques.

Plus encore, nous pouvons, si les travailleurs le décident, “tout reprendre”, l’argent, les machines et le pouvoir réel. Sortir du capitalisme et construire une société débarrassée de l’exploitation de l’Homme par l’Homme, est une nécessité vitale pour notre peuple et les travailleurs !  Pour ce faire, nous devons partir à l’attaque et être à l’initiative. C’est à nous de dicter l’agenda social, et donc politique, du pays ; il nous appartient de décider avec les travailleurs de partir à l’offensive et à la (re)conquête de nos droits et libertés.