1er MAI 2025｜GUERRE A LA GUERRE ! PAIN, PAIX, LIBERTES !
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Le 1er Mai 2025, journée internationale de lutte des travailleurs et travailleuses, a lieu dans un contexte dangereux :
- Aggravation brutale et rapide des conditions de vie et de travail en France, en Europe et dans le monde
- Attaques tous azimuts contre les droits et libertés, notamment d’expression, de manifestation, de grèves et d’action syndicale ou de solidarité avec la Palestine
- Généralisation des guerres, bourrage de crâne et réarmement global : bientôt la guerre générale ?
Dans ce monde où nous subissons tous et toutes les conséquences dramatiques de l’agonie d’un capitalisme en fin de course, le syndicalisme unitaire et révolutionnaire doit être à la hauteur des enjeux multiples qui concernent directement les intérêts vitaux de la classe ouvrière – en France comme ailleurs – et des Peuples.
Il faut arracher l’économie et le pouvoir politique hors des griffes au Capital. Pour reprendre en main nos destins, nous devons destituer cet ordre social qui nous condamne, tous et toutes, au prix permanent du sang et des larmes pour le seul intérêt d’une poignée de parasites.
Organisons notre nécessaire Soulèvement politique contre l’Injustice : « Quand le gouvernement viole les droits du Peuple, l’insurrection est pour le Peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
La réponse aux besoins, matériels (logement, alimentation, travail, énergie…) et l’aspiration à une démocratie totale passent par la conquête du pouvoir politique, l’expropriation sans compensations de l’ensemble de l’économie placée sous la direction des travailleurs eux-mêmes. Cette voie, celle de la transformation sociale de toute la société, le Communisme, est la seule qui puisse ouvrir une perspective réelle au monde du travail, écrasé par la dictature du Capital, l’inflation, la menace de la guerre, la propagande raciste et la montée de l’extrême-droite.
Nous avons besoin d’une explosion de la guerre des classes, d’un syndicalisme CGT combatif et à la hauteur des enjeux et d’une radicalisation du mouvement ouvrier organisé. Par l’usage inflexible de la grève et la multiplication des actions offensives, les travailleurs ont le pouvoir d’arrêter la machine, mettre à terre les patrons et l’État, saboter l’effort de guerre.
Ni guerre, ni austérité : notre Peuple refuse de payer la crise capitaliste et rejette la Guerre impérialiste, appelle à la fin du Génocide en Palestine. “Travailleurs de tous les pays, unissons-nous” pour la Paix, le Pain, les Libertés !
Partout, reprenons les mots d’ordre de la Fédération Syndicale Mondiale :
NON aux économies de guerre – OUI à la lutte de classe :
- Contre les guerres impérialistes et les interventions militaires,
- Contre l’exploitation capitaliste,
- Pour la satisfaction des besoins contemporains des travailleurs !
